Quelques considérations générales sur la gouvernance des entreprises familiales
En France, seulement une entreprise sur cinq est transmise à un membre de la famille (parmi les PME et ETI – petites et moyennes entreprises, et entreprises de taille intermédiaire), au moment du décès ou du départ à la retraite de son fondateur. C’est l’un des taux les plus bas d’Europe : 51% des PME sont transmises au sein de la même famille en Allemagne, 80% en Italie et seulement 22% sur le territoire français*.
Pour transmettre leurs sociétés aux prochaines générations et pour pérenniser les activités de leurs entreprises, les dirigeants doivent savoir impliquer et fédérer leur famille. Les intérêts de chacun peuvent être différents et certains conflits peuvent survenir (notamment autour des problématiques de financement, de concurrence, de croissance ou de succession). La gouvernance de l’entreprise familiale et la mise en place de plusieurs organes sont utiles pour traiter chaque sujet « au bon niveau » et gérer, transmettre, fédérer, faire prospérer la structure.
Notre cabinet aide les familles à définir et à mettre en œuvre le schéma qui correspond le mieux à leur projet ; nous accompagnons notamment les actionnaires dans la création de leur conseil de famille ou family board.